Artiste peintre abstrait français. Né le 27 mars 1960 à Paris. Entre à l'école régionale des Beaux Arts du Mans en 1978. Il y rencontre entre autre, deux peintres, Jean Mamez, avec qui il aura une approche philosophique et globale de l'histoire de l'art et Bernard Koura qui l'initiera aux rapports harmonieux des formes et des couleurs. Lors d'une exposition à Tours dans les années 1980, il est fasciné par l'épaisseur de pâte sur une toile réalisée par Nicolas de Staël. Plus tard, c'est Soulages et son travail sur la lumière qui l'interpelle ainsi que les jeux colorés de Poliakoff sans oublier Jean Paul Riopelle. Ce qui l'amènera à aborder la troisième dimension, avec un travail sur les lumières et les matières, qui définissent sa recherche picturale. M.C. Cotation agréé de Christian SORRIANO Analyse critique de l'oeuvre de Jacques Ayel par Francis Parent (critique d'art) | | |
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“ L’art de la peinture est un exercice de l’esprit. “ Léonard de Vinci
Chaque peinture est une expérience unique et particulière. C'est une aventure avant tout spirituelle. Grâce aux jeux de matières répartis sur les toiles, des accidents provoqués par le hasard, des jeux colorés, la surface peut commençer à vivre, à prendre une orientation voulu qui ouvrira les séances d'expérimentations peintes. Le choix du liant est important, brillant ou mat, huile ou acrylique. J' utilise parfois des pigments fluorescents pour donner à voir à l'aide d'une lampe UV, la même peinture s'éclaire d'elle même : c'est l'effet "kiss cool" et une autre façon de s'amuser. Je souhaite que dans mes peintures se retrouvent les concepts suivants : Lumière / obscurité transparence / opacité épaisseur/ finesse du grain lissé / rugosité Jacques AYEL / 2018 |
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" Essentiel ": court métrage de 26 mn réalisé en 2008 par Jean-françois Grêlé sur la création d'une peinture de A à Z, axée sur la méthodologie. Prix du public au festival "Docencourt" à Lyon le 2 décembre 2011. (voir sa rubrique "liens")
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